p.82
– note 3
Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique, p.192 :
« J’ai prié dans ces pensées
d’abandon, de renoncement aux chères joies d’amour et de présence et je me suis
attachée à la pure foi. En réponse à ma prière j’ai senti intérieurement, pas
un feu, pas de la joie, mais une impression de dessèchement. Serait-ce le
commencement de ce que l’Eglise appelle les "sècheresses" ? Cela
ressemble à un manque de vie, un désert intérieur. »