p.493 – note 2
R. P.Germain
de Saint Stanislas, C.P., La séraphique
vierge de Lucques, Gemma Galgani, p.171-172 :
« Il bat fort, il
bat bien fort, mon pauvre cœur ; il paraît vouloir sortir de la poitrine.
Il est trop faible et ne peut rester ferme. Il m’ennuie beaucoup, en me
contraignant à me tenir assise dans mon lit ; et le lit tremble aussi. A
certains moments, il semble vouloir trouer la poitrine, et je le comprime de la
main. Ah ! que n’ai-je quelqu’un pour m’aider à
tempérer les ardeurs et les flammes dont il est perpétuellement
agité ! »