p.466 – note 1
Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique,
p.60-61 :
« Pourquoi ne
noterai-je pas cela ? Le soir du 9 [avril], dans l’excitation de la
fatigue, les pensées lourdes, en secouant la tête comme pour chasser l’ennui de
moi-même, j’ai vu à côté de mon visage un visage doux et beau, une épaule
offerte à mon inquiétude et je garde le souvenir d’une claire seconde où j’ai
souri à Jésus. »
Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique,
p.61 :
« Plus de cinq
années ont passé sur cette merveille et je m’en souviens comme au premier jour.
Aucun visage humain ne m’a laissé une impression aussi vivante (je veux dire
sûre, durable, que je reconnaîtrais), que celle de cette vision de lumière.
Elle était à ma gauche. En penchant la tête j’aurais touché l’épaule. Elle
disparut aussitôt. J’étais sûre que je venais de voir Jésus. Oui, j’étais sûre
du miracle. Je serais morte avant de pouvoir dire que je n’avais pas vu, à côté
de moi, un être de lumière que mon cœur avait nommé Jésus. »