p.449 – note 1
Thérèse de
l’Enfant-Jésus, Histoire d'une âme,
p.368 (= LT 247.56) :
« Le souvenir de
mes fautes m’humilie, me porte à ne jamais m’appuyer sur ma force qui n’est que
faiblesse ; mais, plus encore, ce souvenir me parle de miséricorde et
d’amour. Comment, lorsqu’on jette ses fautes, avec une confiance toute filiale,
dans le brasier dévorant de l’amour, comment ne seraient-elles pas consumées
sans retour ? »