p.433 – note 2
Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique,
p.220-221 :
« Alors de nouveau,
comme aux premiers temps, mon être est saisi, âme et corps, celui-ci soulevé.
J’ai pensé : "Mon âme et ma chair tressaillent dans le Seigneur et
s’élancent vers le Dieu vivant" : car mon corps est attiré comme par
un aimant d’amour. Et c’est l’apaisement, la joie, dans une absolue
pureté ; et pourtant c’est l’amour, la tendresse… »
Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique,
p.219 :
« Ce qui se dégage
sans hésitation possible, écrit-elle, c’est que cette vie nouvelle, cette joie,
cette possession, cette union qui n’est que délices, défaillance d’amour, quand
elle est ressentie au centre de notre être, peut monter et, il semble, envahir
l’esprit. »