p.433 – note 1
Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique,
p.216 :
« Et dans son
inspiration à la fois de poète et de saint, le grand mystique nous montre en la
personne de l’Homme-Dieu "le lit ineffablement divin, chaste et pur, sur
lequel repose l’âme dans cette union d’amour" : union où sans limites
s’éclaire l’intelligence, illuminée de plus en plus par son objet infini ;
union où sans réserve se donne la volonté, de plus en plus attachée à Dieu et
heureuse d’acheter, au prix de tout ce qu’elle possède, ce trésor d’amour
qu’elle trouve caché en lui. »