p.129
– note 1
Thérèse de l’Enfant-Jésus, Histoire d'une âme, p.146-147 (= Ms A
fol. 83v) :
« Il me semble que si toutes les
créatures recevaient les mêmes faveurs, Dieu ne serait craint de personne, mais
aimé jusqu’à l’excès ; par amour, et non pas en tremblant, jamais aucune
âme ne commettrait la moindre faute volontaire. »